Nowhere Boy est le biopic musical du moment. Après des films français réussis comme La Mome ou Gainsbourg vie héroïque, après le succès de Good Morning England, le cinéma parie sur l'histoire de John Lennon.
La date de sortie ne tient pas du hasard : le 8 décembre, les fans rendaient hommage à la star, assassinée trente ans plus tôt.
Nowhere Boy : adolescence de John Lennon et naissance d'un groupe
Chouchouté par Ariane le 14 décembre à 21:54
Bliss : des concours de beauté au roller derby
Bliss est une adolescente en pleine métamorphose. Originaire d’une petite ville près d’Aston, Texas, elle partage ses journées entre l’école, son emploi de serveuse et les concours de beauté : la grande passion de sa mère.
Chouchouté par Ariane le 30 juin à 20:49
Iron Man 2, pays de la télévision et de la surenchère
C'est toujours un défi d'aller voir au cinéma une suite sans connaitre le film initial.
Iron Man 2 se suit sans trop de difficultés sans avoir vu le premier et après un petit brief du connaisseur.
Voilà un des seuls bons points du film : sa clarté.
Chouchouté par Ariane le 01 mai à 12:35
Sherlock : sauce américaine ou James Bond refoulé ?
Sherlock Holmes au cinéma : séduisant. Le résultat à la sortie du film est tout autre : cette nouvelle mouture des aventures de l’enquêteur le plus célèbre de Londres se perd dans l’attention excessive portée au décor plutôt qu’à l’intrigue, minimale et prévisible.
L’histoire tient en une phrase : Sherlock Holmes et Watson sont plongés dans une enquête où le grand méchant aurait ressuscité et se prépare à devenir le maitre du monde.
Chouchouté par Ariane le 20 février à 00:21
Une exécution ordinaire : un film intimiste dans les appartements de Staline
C’est la bande annonce d’Une exécution ordinaire qui m’a convaincue d’aller voir le film. La présence magnétique d’André Dussollier, associée à des dialogues incisifs et percutants laissait présager un film grave et réussi.
Vassili (Edouard Baer) et Anna (Marina Hands) sont mariés. Depuis plusieurs mois, ils vivent au rythme de leurs emplois respectifs (elle est médecin, il est physicien) et de leurs tentatives pour avoir un enfant. Dans le cabinet d’Anna, les tensions et la jalousie sont perpétuelles, certains collègues menaçant de dénoncer la jeune femme si elle ne consent pas à s’offrir.
Chouchouté par Ariane le 19 février à 16:36
Agora : un peplum sur la femme et les sciences
Agora se promène avec la jeunesse d’une adolescente au sein d’un genre plutôt mur : le péplum.
Le parti-pris du scénario fait mouche pour son originalité : dans Agora, les chrétiens ne sont plus martyrs, mais bien bourreaux.
Chouchouté par Ariane le 14 février à 16:00
Bright Star : aimer un poète
Jane Campion (on le sait depuis La Leçon de piano) n’a pas son pareil pour mettre en scène des histoires d’amour simples et fortes. Avec Bright Star, c’est l’histoire d’amour du jeune poète romantique John Keats (Ben Whishaw) avec sa jeune voisine Fanny (Abbie Cornish) qui est immortalisée.
Chouchouté par Ariane le 21 janvier à 17:14
Invictus : humanisme et rugby
Un an après ''Gran Torino'', Clint Eastwood signe un nouveau film : Invictus, avec dans les rôles principaux Morgan Freeman et Matt Damon.
Chouchouté par Ariane le 16 janvier à 10:45
Gigantic : un petit film
Gigantic fournit une nouvelle fois à Zooey Deschanel l’éternel même rôle : celui d’une jeune femme au charme irrésistible mais perdue, et qui entretient avec l’amour et les hommes des rapports complexes où le jeu du chat et la souris, du oui puis du non, demeure, sans réelle nouveauté. Après Autumn de 500 jours ensemble, voici Happy de Gigantic, rappelant combien chacun des scénarios travaillent à faire de Zooey Dechanel une actrice de l’abstrait, du général et de la poésie.
Chouchouté par Ariane le 14 janvier à 22:04
A l’origine, il y a le bâtiment
A l’origine, de Xavier Giannoli, est un film réaliste, tiré d’une histoire vraie : Philippe Miller profession arnaqueur, se rend dans un village rongé par le chômage où, quelques années plus tôt, l’arrêt de la construction de l’autoroute a enraciné les habitants dans la misère.
Poussé par certains distributeurs et le conseil municipal, il finit par prendre en charge la réouverture des travaux en se faisant passer pour le directeur d’une petite entreprise fictive (GMTR) censée être affiliée à la CGI. Son but : commencer la construction et partir avant la fin, avec l’argent liquide amassé.
Chouchouté par Ariane le 18 novembre à 14:07
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