Il arrive qu'on se fasse piéger. Piégé par un écrivain et son personnage. Et cette fois-ci, ce sont Fred Vargas et Adamsberg (Jean-Baptiste pour les intimes) qui m'ont piégée. Après la très jolie découverte de L'homme à l'envers, j'ai foncé vers L'homme aux cercles bleus. Le titre et le résumé me plaisaient.
"Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ?" Telle est la phrase que les parisiens trouvent le matin, sur le trottoir, à côté d'un cercle bleu dessiné à la craie, qui entoure un objet perdu à chaque fois différent. Pour tout le monde, c'est l'oeuvre d'un uluberlu cultivé et original. Pour Adamsberg, cette manie est une marque de cruauté.
Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ?
Chouchouté par Ariane le 29 mai à 22:38
L'homme à l'envers : le mythe du loup-garou dans le Mercantour
Dans un village du Mercantour, la peur rôde. Un loup immense a déjà égorgé plusieurs brebis et les hommes décident de partir en battue pour retrouver l'animal fauteur de troubles. De son côté, Camille, femme indépendante, passionnée par un guide de l'outillage et à la beauté déconcertante, plonge vers une autre piste grâce à son compagnon Lawrence, un canadien venu étudier les loups dans le Mercantour et dont les deux mots préférés sont : cradingue et bullshit.
Lawrence a eu une discussion avec Suzanne, une vieille femme très respectée de la région, qui lui a confié savoir toute l'histoire : pour elle, Massart, un habitant du village, est un loup-garou. Son principal argument : il n'a pas de poils.
Chouchouté par Ariane le 01 mai à 13:28
Gataca : l'ADN sous toutes les coutures
Tout s'était terminé à la fin du syndrome E. Dernière page. Déception : déjà la fin d'un roman sur l'origine de la violence, qui mêle cinéma et médecine. Et le début d'autre chose : une note de Franck Thilliez qui annonce que Le Syndrome E n'est que la première partie d'un dyptique.
Grâce aux éditions du Fleuve noir, j'ai pu découvrir ce second roman : Gataca, avant sa sortie en librairie (sortie prévue le 14 avril).
Gataca renoue avec les deux héros du Syndrome E : Franck Sharko et Lucie Hennebelle, deux flics marqués par leur boulot et leur vie personnelle.
Chouchouté par Ariane le 24 mars à 19:38
Fractures : le thriller poussé jusqu'au bout de ses retranchements
Vous cherchez un polar à l'intrigue alambiquée, aux retournements de situation infinis et aux personnages torturés : Fractures est le polar qu'il vous faut. Le polar idéal pour les trains de nuit. Qui ferait presque penser à un livre horrifique tant le spectateur va être malmené dans les méandres d'esprits terrifiés et terrifiants.
Chouchouté par Ariane le 10 mars à 21:43
Le syndrome E : voyage malsain et terrifiant dans les méandres du cinéma et de la médecine
Après Requins d’eau douce découvert le mois dernier, je continue mon immersion dans le monde du thriller littéraire avec ce mois-ci Le Syndrome E de Franck Thilliez.
Tout commence avec un film. Ludovic, un féru de cinéma, achète de nombreuses bobines chez un passionné. L’une d’elles n’a pas de titre. Ludovic repart avec son trésor, prêt le soir même à poser les yeux sur un film sans doute rarissime. Le résultat dépasse ses espérances : le film, d’une rare violence, le traumatise.
Chouchouté par Ariane le 04 février à 19:20
Requins d'eau douce : le nectar du roman policier
Requins d’eau douce, d’Heinrich Steinfest, raconte l’histoire d’une étrange enquête menée par l’inspecteur principal Richard Lukastik. On a trouvé un mort sur le toit d’un immeuble, dans la piscine. Les circonstances de la mort ne font aucun doute : le corps a été déchiqueté par un requin. Déchiqueté par un requin à des dizaines de mètres du sol, en plein Vienne, dans une piscine où bien sûr, il n’y a pas de trace de requin.
Lukastik se lance dans l’enquête pour résoudre cette énigme, avec l’aide de son équipier Jordan, d'un spécialiste des requins et de la police criminelle.
Chouchouté par Ariane le 30 décembre à 11:04
Twilight 4 : le réveil
Après avoir ri au cinéma devant le triangle vaudevillesque que forment Bella, Edward et Jacob, je me suis retrouvée devant Twilight 4 Révélation, (des centaines de pages) avec une légère appréhension que les cent premières pages n'ont pas fait disparaître. Et pourtant, j' ai lu ce dernier tome en quatre jours, happée au dernier moment par l'histoire et les personnages.
Raconter Twilight 4 sans le spoiler est un vrai défi tant les événements décisifs s'enchaînent.
Chouchouté par Ariane le 02 août à 19:08
Twilight 3 hésitation : quand les dialogues vampirisent l’action
J’ai découvert la saga cinématographique Twilight dans des circonstances américano-aériennes. En faisant Los Angeles-New York, j’ai sauté de joie en voyant que l’avion programmait le film qui faisait sensation en France et que j’avais manqué.
J’ai trouvé le film étrange et mystérieux, grâce aux décors mais aussi aux dialogues que je ne comprenais pas parfaitement. J’ai même pensé à la fin du film que Bella avait été amputée et n’avait plus qu’une jambe. Oui oui.
Chouchouté par Ariane le 05 juillet à 13:33
Cuisiner un sentiment : des recettes, un roman.
Un livre de recettes de cuisine, c'est souvent une recette par page, avec une ou plusieurs photos, la liste des ingrédients et le magnifique impératif du "mélangez ceci, faites cuire cela".
Cuisiner, un sentiment est un livre de recettes pas comme les autres, presque un roman, qui cultive la madeleine proustienne, c'est a dire les sensations, les souvenirs qui naissent avec une recette, un ingrédient.
Chouchouté par Ariane le 27 juin à 14:12
Chroniques d'Amérique de François Hauter
Les Etats Unis ont toujours été une thématique importante sur une Semaine un Chapitre avec les histoires de cow boy, les films américains et les Etats Unis eux mêmes dans la rubrique voyages avec plusieurs mois passés en Californie à Los Angeles pour étudier le cinéma.
Dans Chroniques d'Amérique, Francois Hauter raconte son voyage de deux mois et demi aux Etats Unis, un voyage itinérant, un peu a la façon de J'irai dormir à Hollywood mais en plus sérieux et plus documenté. A Washington par exemple, c'est la thématique scolaire qui est abordée. Pourquoi les americains sont-ils si optimistes et entrepreneurs ? La réponse, pour Francois Hauter tient en un mot : l'école !
Chouchouté par Ariane le 23 mai à 15:54
« billets précédents - page 1 de 4
Derniers commentaires