De rouille et d'os signe le retour de Marion Cotillard dans le cinéma français : une première raison d'aller voir De rouille et d'os, d'autant qu'elle y joue un rôle complexe - celui de Stéphanie, une princesse des temps modernes, dresseuse d'orques (et d'hommes), qui suite à un accident pendant un spectacle au Marineland, se retrouve amputée des deux jambes.
De rouille et d'os de Jacques Audiard
Chouchouté par Ariane le 28 mai à 19:46
Angele et Tony : La Belle et la Bête en pays marin
Angele et Tony raconte l'histoire d’Angele, une jeune femme instable hantée par un lourd passé : prison, enfant placé chez les parents de son ex mari. En Liberté conditionnelle elle est prête à tout pour récupérer son fils et réussit à se faire embaucher comme aide à la criée, sur le port.
Son idée, vague : se marier pour que les juges lui redonnent son fils.
Chouchouté par Ariane le 07 février à 00:13
Poupoupidou : Maryline à la française
David Rousseau (Jean-Paul Rouve) est un auteur de romans policiers en panne d’inspiration. C’est en allant à Mouthe, la ville (ou plutôt le village) la plus froide de France pour récupérer un héritage qu’il apprend le suicide de Candice Lecoeur, la star locale (Sophie Quinton).
Blonde, jeune : la jeune femme a tout de la trajectoire (à sa mesure) et du physique de Maryline Monroe.
Emu et inspiré, David décide d’enquêter pour découvrir si oui ou non il s’agit bien d’un suicide. Des détails l’invitent à penser le contraire, son intuition aussi.
Chouchouté par Ariane le 24 janvier à 10:21
L'homme qui voulait vivre sa vie : dans la peau d'un artiste
Avec Romain Duris, ça passe ou ça casse. Les réactions face à cet acteur sont toujours très extrêmes : génie adulé ou insupportable orgueilleux , force est de constater que cet acteur choisit bien ses films.
L'homme qui voulait vivre sa vie est un film enchanteur sur un sujet parfois difficile à soulever : est-on heureux de sa vie ? Vaut il mieux choisir la sécurité ou partir à l'aventure ?
Chouchouté par Ariane le 08 décembre à 18:41
No et moi : tel est aidé qui croyait aider
No et moi a un résumé à rallonge et un titre bien énigmatique.
Le tout commence en voix off, à la gare d'Austerlitz : Lou 13 ans, en classe de seconde, à décidé de faire son exposé sur une jeune sdf : No.
Au fil des rencontres, ces deux êtres coupés de la société s'apprivoisent et bientôt, No se retrouve dans l'appartement de la famille de Lou. Ils veulent l'aider à se réinsérer.
Chouchouté par Ariane le 01 novembre à 15:07
Les Petits mouchoirs : amitié et crustacés
Un petit paquet de mouchoirs sur chaque siège.
Le pari est osé : vous allez pleurer, disent les kleenex immobiles...
Et c’est vrai, on pleure.
De rire.
Chouchouté par Ariane le 17 octobre à 13:25
La Tête en friche : grand écart entre le bar du coin et La Peste de Camus
Peu de films à l’affiche sont consacrés à la lecture. Après The Reader il y a quelques temps, La Tête en friche prend en charge le patrimoine littéraire français avec des lectures de livres comme La Peste de Camus ou La Promesse de l’aube de Romain Gary.
Les deux films peuvent paraître très différents l’un de l’autre, mais se ressemblent néanmoins dans la thématique : la lecture et un couple dans lequel la femme est plus vieille et prend le rôle de l’initiatrice.
Chouchouté par Ariane le 17 juin à 20:59
L'enfance du mal : un premier film diabolique
C'est l'histoire d'une jeune fille (Céline, interprétée par Anais Demoustier) en marge de la société qui s'installe dans la vie d'un couple fortuné sans enfant.
D'abord dans les dépendances, Céline squatte. Mais un jour, Henri Van Eyck (Pascal Greggory) découvre la jeune fille. Il lui offre un repas chaud : la mécanique est déjà lancée et le destin scellé.
Chouchouté par Ariane le 12 mai à 22:36
Mammuth, nouveau venu dans la faune cinématographique francaise
Un film qui joue avec l'image à la façon des impressionnistes, on n'avait pas vu ça depuis longtemps : grain marqué, saturation des couleurs, contrastes lumineux, vitesse floue et chaotique. la pellicule semble marquée par les années, à l'image du personnage principal de ce film : Serge dit Mammuth, interprété par Gérard Depardieu.
Mise en scène et photo créent une réalité subjective et gracieuse : la réalité telle que Serge la voit.
Chouchouté par Ariane le 09 mai à 12:00
Les Aventures d'Adèle Blanc Sec, royaume du farfelu artificiel
Si le personnage d'Adèle Blanc Sec est aventurier son réalisateur ne l'est pas, Luc Besson offrant au spectateur un mélange mal dissimulé de deux succès français récents : Astérix et Obelix Mission Cleopatre et Amélie Poulain. Ajoutez a cela un brin d'américanisation et donc d'effets spéciaux façon La Momie et vous avez la recette des Aventures d' Adèle Blanc Sec.
Le stratagème est autant visible qu'un ptérodactyle qui survolerait Paris.
Chouchouté par Ariane le 21 avril à 22:11
« billets précédents - page 1 de 3
Derniers commentaires