Anders a 30 ans et se rend à un entretien d'embauche, le premier depuis qu'il est entré en cure de désintoxication.
De retour dans la ville d'Oslo, où il a plein de souvenirs, il profite de la journée pour rendre visite à ses amis et ses proches. C'est son meilleur ami qu'il va voir en premier, marié et père de deux jeunes enfants.
Oslo 31 août de Joachim Trier
Chouchouté par Ariane le 30 juin à 20:12
Very Bad Trip 2, plus mauvais film de l'année ?
Very bad trip, divertissement rafraichissant et fougueux, laisse cette année la place au 2. Pas vraiment de nouveauté si ce n'est le changement de lieu : Las Vegas est remplacé par Bangkok.
L'effet de surprise est passé et au final Very bad trip 2 est plus une pâle copie du premier qu'une suite.
Les rebondissements sont les mêmes avec des changements par ci par là : le bébé remplacé par un singe, le clinquant de Las Vegas transformé en un Bangkok suintant et sale.
Chouchouté par Ariane le 13 juillet à 22:00
Limitless de Neil Burger
Et si la drogue nous permettait de devenir surdoué ? Telle est l'idée de Limitless qui suit la montée en puissance d'Eddie (Bradley Cooper) : un ecrivaillon qui vit dans un taudis et correspond à la définition du loser.
Un seul comprimé de cette nouvelle drogue permet à notre anti héros d'utiliser la totalité de son cerveau. En quelques heures, le roman dont il n'avait pas écrit une seule ligne est terminé et Eddie est devenu accroc à cette impression d'invicibilité et de surintelligence.
Chouchouté par Ariane le 17 juin à 23:04
Pusher, dur dur d'être un dealer
Avec Bronson puis Le Guerrier silencieux, Nicolas Winding Refn est devenu l'un des jeunes réalisateurs à suivre. Mise en scène de virtuose, scénarios et personnages qui réinventent les genres auxquels il s'attaque (film de gangster, film d'action, film de prison), acteurs typés et atypiques : on retrouve ce cocktail dans Pusher, une trilogie qu'il a réalisé en 1996, 2004 et 2005.
Ces trois films (disponibles en DVD) ont comme point commun le milieu de la mafia de l'est, spécialisée dans le trafic de drogue. Chaque film se concentre sur un personnage en particulier - qu'on peut croiser ou recroiser à certains moments de la trilogie - un homme à chaque fois, dans la combine du trafic de drogue et autres activités peu recommandables.
Chouchouté par Ariane le 20 avril à 23:34
Une pure affaire : la drogue pour les nuls
Le pitch d'Une Pure affaire a tout pour plaire : une famille lambda, de classe moyenne, se trouve peu à peu confrontée à la spirale de la drogue lorsque le mari -David Pelame- trouve le soir du réveillon, en promenant son chien, un sac qui contient de la cocaïne et un téléphone.
Bien vite, David prend la place de l'ancien dealer. On l'appelle. Il vient avec la dose demandée. Alexandre Coffre nous embarque dans une comédie merveilleusement loufoque et surréaliste, sur un terrain pourtant bien réel.
Chouchouté par Ariane le 12 mars à 09:16
Jewish Connection : la religion ou la drogue
L'originalité de Jewish Connection réside dans l'association de deux milieux très disctincts : la famille juive et le monde de la drogue. Deux mondes opposés, l'un régi par les règles pieuses et indiscutables de la religion, l'autre incarnant un mélange d'argent facile et de liberté.
Sam mène une vie bien rangée : il travaille dans le magasin de son père et va sans doute épouser une jeune juive qu'il ne connait pas très bien. Le mariage est arrangé par les deux familles mais au dernier moment la famille de la mariée change d'avis.
Blessé, Sam se rapproche de Yosef et devient une mule : il transporte avec lui des valises d'ectasy du vieux continent à New York.
Chouchouté par Ariane le 26 février à 23:16
Las Vegas Parano de Terry Gilliam
La Vegas Parano, de Terry Gilliam, est l’un de ces films dans lequel la mise en scène est happée par la thématique principale, ici la drogue.
Raoul Duke et son avocat, le Docteur Gonzo sont partis pour une virée à Las Vegas, pour soi disant couvrir un rallye à moto dans le désert. Le départ en week end est plutôt prétexte à embarquer le plus de drogues possible, pour tester ses limites et se perdre. On n’en saura pas davantage sur les personnages…
Chouchouté par Ariane le 19 novembre à 19:21
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