Ce serait faire une grossière erreur que de dénigrer ce livre, avec pour seul argument son titre, qui m’a repoussée pendant des années… Il a fallu que je sois obligée de lire Le Procès (les études permettent de ces découvertes !) pour prendre conscience que j’étais devant un des meilleurs romans du monde…
Le Procès de Franz Kafka : entre ironie magistrale et absurdité vénérable
Chouchouté par Ariane le 07 juin à 16:11
Amour va-t'en : dénouement, chapitre 9 (sur 9)
- Monsieur, je crois bien que le vide vous aime.
Adella, vraisemblablement, a beaucoup vieilli depuis la photo du journal, ce qui a bien indisposé Emile au premier abord, d’autant que ses joues rebondies descendent dangereusement comme des bajoues vermeilles de coq.
Chouchouté par Ariane le 30 mars à 12:57
Amour va-t'en : chapitre 8 (sur 9)
- On vous a pas raté, si je puis me permettre.
Chouchouté par Ariane le 21 mars à 21:12
Amour va-t'en : chapitre 7 (sur 9)
« Cet être, quel qu’il soit vous aime. »
Le couperet vient d’asphyxier Emile.
Chouchouté par Ariane le 16 mars à 18:59
Amour va-t'en : chapitre 6 (sur 9)
« Monsieur le facteur,
Chouchouté par Ariane le 07 mars à 19:09
Amour va-t'en : chapitre 5 (sur 9)
- ça ! dit Emile, c’est fort !
Il regarde un à un les dos d’enveloppes. La même adresse, la même écriture. Sans doute est-on désormais prêt à le rencontrer. Au cinéma, pourquoi pas ?
Chouchouté par Ariane le 01 mars à 13:30
Amour va-t'en : chapitre 4 (sur 9)
On indique bien vite une table à Emile, qui ne sait que penser. Bien sûr, le chauffeur le rejoint, et s’invite avec beaucoup de politesse. Il reluque les clients, les serveurs, persuadé que l’auteur des enveloppes vides se trouve là. Emile, plus raffiné, propose de manger d’abord plutôt que d’observer comme un voyeur quelques êtres humains que le hasard a fait échouer à côté d’eux.
Chouchouté par Ariane le 23 février à 15:08
Amour va-t'en : chapitre 3 (sur 9)
- Vous savez qu’on en raconte de bonnes sur La Martingale…
Chouchouté par Ariane le 14 février à 19:40
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