Quel titre évocateur au parfum tendrement équin !
Ed Harris nous plonge dans le quotidien d’une ville divinement nommée (Appaloosa) où sévissent Bragg et ses acolytes, friands d’alcools, de femmes, de bagarres et de meurtres.
Virgil Cole (Ed Harris) et Everett Hitch (Vigo Mortensen) sont embauchés pour y faire régner l’ordre. Nommés shérif et shérif adjoint, ils surveillent la ville du bout de leurs revolvers protecteurs, tout en faisant la rencontre d’ Allie (Renée Zellweger), une jeune femme polie au visage jovial et aux manières volages.
Appaloosa d'Ed Harris
Chouchouté par Ariane le 06 octobre à 13:28
Nouveauté dans les critiques de film : les notes
Je propose désormais de terminer chaque critique de film par une note sur 10, qui sera une synthèse de ma pensée sur le film en termes plus « mathématiques » et concrets, après, bien sûr, avoir au préalable utilisé les mots, car un avis sur un film ne se résume pas à un chiffre.
Chouchouté par Ariane le 03 octobre à 13:38
Entre les murs de Laurent Cantet
Palme d’or, battage médiatique : difficile d’aller voir Entre les murs sans avoir déjà sa petite idée du film, c’est à dire l’idée des autres.
Une fois passés les multiples débats au contenu déjà épuisé (le film vaut-il la palme d’or, l’esthétique est documentaire mais il s’agit d’une fiction : quelle tromperie, cela se passe-t-il vraiment comme cela dans certains collèges, le film réhabilite-t-il les collèges difficiles), le plus intéressant arrive, car le film pose de vraies questions.
Chouchouté par Ariane le 03 octobre à 13:19
La Belle personne de Christophe Honoré
Christophe Honoré n’a pas changé. Après Les Chansons d’amour, il y a un an, La Belle personne remet en scène les thèmes favoris de ce réalisateur reconnaissable entre mille: Paris, les amours contrariées, la jeunesse mélancolique et fragile, l’homosexualité naissante.
Chouchouté par Ariane le 01 octobre à 17:02
De Niro's Game de Rawi Hage: Beyrouth en Enfer
Je n’aime pas les films sur la guerre. Les livres sur la guerre non plus. Mais force est de constater qu’il existe des auteurs qui savent la raconter et la décrire sans passer par un sentimentalisme indigeste ou un ton moralisateur exacerbé.
Rawi Hage, dans De Niro’s Game réussit ce pari. Ce pari insensé, fou, de parler de la guerre, sans que pourtant le lecteur se sente trimballé dans du déjà-vu, du déjà-écrit.
Chouchouté par Ariane le 30 septembre à 12:00
Mamma Mia de Phyllida Lloyd : un bonbon et une comédie musicale
Mamma Mia ! Un petit bonbon sucré, aussi coloré qu’un arlequin, doux comme une fraise tagada, mais aussi acidulé par des copines hystériques et des déguisements disco tout en strass et paillettes.
Chouchouté par Ariane le 17 septembre à 17:58
Mirrors de Alexandre Aja
Pauvre Ben Carson. Suspendu de la police pour avoir tué un homme, il essaie d’arrêter de boire à l’aide de cachets à risques hallucinogènes et prend un boulot de garde de nuit au Mayflower, un ancien centre commercial délabré après un incendie, qui était anciennement un hôpital où un certain Dr Kane traitait les troubles de la personnalité. Le gardien de nuit précédent a quant à lui rendu l’âme, tué par son reflet.
Chouchouté par Ariane le 16 septembre à 19:53
Les frères Karamazov et Crime et châtiment de Dostoïevski: deux livres à apprivoiser
Dostoïevski… Un de ces monuments de la littérature qu’on hésite à lire, quelquefois. On se comprend : commencer un livre qui pèse au bas mot 400 voire 500 pages, demande un minimum de temps et de motivation.
Chouchouté par Ariane le 12 septembre à 17:05
The Dark Knight de Christopher Nolan
Renouveler en partant du même, en gardant le même : impossible ?
Pas pour Christopher Nolan. The Dark Knight entraine les spectateurs dans un Gotham plus noir que jamais : la pègre et les blagues mortelles d’un fou dangereux prénommé le Joker, mettent la ville à feu et à sang.
Chouchouté par Ariane le 06 septembre à 10:36
L'Enfant méduse de Sylvie Germain
Attention, un livre à ne pas mettre entre toutes les mains… Emotifs, s’abstenir, sauf si vous avez envie de pleurer.
Comment expliquer, maintenant, pourquoi j’ai lu ce livre plus de trois fois… Il y a le mémoire que je rédige, consacré à trois livre de Sylvie Germain, mais aussi autre chose : cette capacité de mêler un récit terrible à une prose d’une beauté MAGISTRALE.
Chouchouté par Ariane le 11 juin à 18:12
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