I Le bateau la Virginie chavire. P 7 à 9.

II Robinson se réveille, seul, sur une île inhabitée. Il met alors au point tout un système pour survivre matériellement et spirituellement. Il construit une cabane, crée des plantations et élève des chèvres. Pour ne pas perdre la raison, il construit tout un règlement qui opère sur l’île qu’il baptise Speranza (l’espérance). La charte de Speranza est composée de cinq articles que Robinson se doit de respecter, dont parler tout haut pour ne pas oublier le langage. De la page 10 à la page 64, Robinson respecte ses règles à la lettre et n’a pour unique compagnon que le chien Tenn qui a également survécu au naufrage.

III Robinson sauve un indien de la mort. P 65 à 69.

IV L’indien lui donne en retour un dévouement total. Robinson recueille donc Vendredi et le forme aux métiers de Spéranza, à la charte de l’homme policé. Vendredi fait des efforts, mais il aime la spontanéité et les longues siestes. Son comportement de « sauvage », habitué aux plaisirs de la vie est en totale opposition avec celui de Robinson, strict et appliqué de la page 70 à la page 92.

IV Vendredi fume dans la grotte où sont stockés les tonneaux de poudre. Quelques secondes après qu’il en soit sorti, la grotte explose. P 93 et 94.

V La charte de Speranza n’a plus lieu d’être : toutes les installations de Robinson et sont matériel ont été détruit, hormis la longue-vue. Les deux hommes vont maintenant vivre comme Vendredi l’entend, c’est-à-dire à la façon du bon sauvage. Vendredi dort, mange et s’amuse. Il apprend à Robinson comment chasser et cuisiner, en bref, comment vivre sur une île déserte du Pacifique de la page 99 à la page 150.

VI Le bateau Whitebird accoste sur Esperanza après vingt-huit ans de vie sur l’île pour Robinson. P 151.

VII Vendredi apprécie le Whitebird et l’équipage : tout est nouveau pour lui. L’avis de Robinson est plus mitigé : il remarque que le mousse (Jean), âgé de douze ans, est régulièrement battu. Robinson décide de rester sur son île et attend avec impatience que le Whitebird disparaisse avec son lot de désordre et de violence. P 152 à p 162.

VIII Le lendemain matin, le Whitebird a disparu, et Vendredi avec. Fou de douleur, Robinson pense en finir avec la vie, mais il découvre sur l’île le petit mousse Jean. Lorsque Vendredi est monté sur le Whitebird la nuit précédente, Jean a utilisé sa pirogue pour gagner l’île. Robinson appelle Jean Dimanche. « C’est le jour des fêtes, des rires et des jeux. Et pour moi tu seras pour toujours l’enfant du dimanche. ». p 163 à p 168.


Le résumé de Vendredi ou la vie sauvage a été fait avec la pagination de l’édition Folio junior.

Comme on peut le voir, Vendredi ou la vie sauvage est composé d’une succession d’actions qui créent systématiquement différentes ères ou périodes :
- le bateau chavire : Robinson, sauf, crée sa charte et sa vie sur le modèle du monde civilisé,
- Vendredi échappe de justesse à la mort : il rentre dans le monde policé de Robinson, dans lequel s’insert un rapport maitre-valet,
- Le monde construit par Robinson explose : Vendredi et Robinson vivent à la façon du bon sauvage,
- Le Whitebird accoste à Speranza : Vendredi quitte l’île pour le bateau et le mousse Jean gagne l’île instaurant ainsi l’ère de l’enfance et des jeux sur l’île.

Ce résumé de Vendredi ou la vie sauvage permet donc d’établir la structure de l’œuvre.


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