Equideow, à la longue, s’avère lassant. La seule façon de communiquer avec vos chevaux étant le clic, le joueur rencontre très vite la limite d’un système doté d’un seul clic pour toutes les taches possibles.
Ensuite, si la vie du jeu est éternelle, la patience du joueur d’Equideow ne l’est pas ! C’est lorsque vous vous retrouvez avec dix chevaux qu’il devient véritablement fastidieux de nourrir chacun d’eux, de les faire concourir, etc.
Au niveau des décors, rien de sensationnel non plus, et le traitement des chevaux gagnerait à être plus précis, pour qu’un selle français ne ressemble plus vraiment à un arabe et qu’avec ses dix chevaux, le joueur n’ait pas l’impression d’avoir plusieurs jumeaux.

Pourtant, le jeu innove.
Une catégorie compétition western vient d’apparaître. Intéressant ! Comme si Equideow était au courant pour ma virée western en plein milieu du Nevada, à une trentaine de minutes d’Elko, et cherchait par ce moyen à me faire revenir.
Ce n’est pas comme si Equideow avait 3 450 000 inscrits…