Décuplée quand, au téléphone, vous avez une affreuse mal aimable qui vous demande à grands renforts de répétition de détacher le filtre qu’un technicien, un an auparavant a scellé au mur ! Imaginez encore l’emplacement dudit filtre (derrière un lit Ikéa)…
A part le rendez-vous personnalisé à 110 euros, l’affreuse mal aimable n’avait rien à proposer, pas même le rendez-vous avec un spécialiste libre dans une petite semaine – pas plus – et qu’on nous avait proposé la dernière fois.
Et pourquoi pas cette fois ? On peut se demander pourquoi. Un jour il fait beau, l’autre il pleut. C’est comme ça.
La dernière fois, l’autre affreuse mal aimable avait ainsi conseillé de se rendre dans un magasin F…. T… pour tester la livebox. Ce que j’ai fais, sans succès : l’appareil qui sert à ces tests était lui-même cassé pour une bonne semaine.
En plus de vous faire débrancher tous vos téléphones et de déplacer vos meubles, ces démons téléphoniques vous font donc quelquefois vous déplacer vous-même ! Vous voilà à tirer un ticket, comme pour acheter un steak ou attendre à la Préfecture. 206, c’est à vous. La machine est cassée ? Je dois rappeler ? Mais, vous étiez mon dernier recours…
Bref, Internet est parti. Pour combien de temps ? Aucune idée…
Que faire alors ?
Prévoir, et trouver une connexion accueillante…
Une semaine un chapitre ne sera donc peut-être pas aussi dynamique que d'habitude la semaine prochaine, puisque l'absence d'internet, comme vous le savez, rend la naissance des billets difficile.
01
nov.
Internet, où es-tu?
Par Ariane le samedi, novembre 1 2008, 14:06 - Le surréalisme aujourd'hui
Comment expliquer cette colère qui monte, monte, monte ?
Il y a un mois, Internet, et ma noble livebox dont je tairai la marque et l’appartenance funèbre, est partie une semaine en vacances.
Et depuis deux jours, il semble qu’elle soit repartie. Où, je ne sais pas. Elle court partout, c’est tout : y a qu’à voir la façon dont elle clignote. Quelle sotte...
Imaginez un peu un journaliste sans papier (de journal). Pensez encore à un cinéaste sans pellicule (de film). Voilà, vous savez ce que peut ressentir un bloggeur qui n’a plus internet.
De la rage ! De l’horreur…
Commentaires
La semaine ne sera p'têt pas dynamique ici...
Mais ailleurs, oui...
Ou pas...
Il restera toujours le réseau wifi de la fac
En plus avec un mac, plus de risque de risquer de se prendre plein de MST sur le réseau 
Sinon pour argumenter le débat, j'ai bien l'impression qu'aucune boîte internet ne relève l'autre... Un monde parfait sera un monde où l'administration tournera bien et où on n'aura pas l'impression de se faire bip à chaque fois...
C 'est bien la preuve que l'on est maintenant complètement dépendant d'internet.
Je vous embrasse tous passer un bon week end !!!!!
@Brice : C'est bien vrai ça...