Vous comprenez soudain ma souffrance, principalement si je vous dis ensuite que je viens à peine d'en finir un et de le soutenir !
Et si je vous dit que j’ai trois semaines pour l’écrire si je veux ensuite pouvoir m’envoler au bout du monde pour profiter un peu du paysage (un clavier d’ordinateur, c’est joli, nous sommes d’accord, ça dépasse Paris, mais pas la mer ni la montagne).
Fête du cinéma, soleil caniculaire, propositions de tous côtés, mais non, il faut travailler… Cinquante pages. Ciel…
Alors, priez pour moi… et pour ce second Master 1, par voie rapide.

Je vous propose néanmoins de vous désaltérer devant ces quelques images équestres.

eau

pie