dormir à Hollywood
J’irai dormir à Hollywood d’Antoine de Maximy s’annonce comme l’ovni cinématographique de cette fin d’année : avec un dispositif de filmage original à même le corps (une caméra pour le champ, une caméra pour le contre-champ), ce vadrouilleur hors-norme est à la fois le caméraman, le réalisateur, et l’acteur principal de son film. Une performance à relever, avant de s’intéresser à l’histoire en elle-même.