l'homme aux cercles bleus
Il arrive qu'on se fasse piéger. Piégé par un écrivain et son personnage. Et cette fois-ci, ce sont Fred Vargas et Adamsberg (Jean-Baptiste pour les intimes) qui m'ont piégée. Après la très jolie découverte de L'homme à l'envers, j'ai foncé vers L'homme aux cercles bleus. Le titre et le résumé me plaisaient.

"Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ?" Telle est la phrase que les parisiens trouvent le matin, sur le trottoir, à côté d'un cercle bleu dessiné à la craie, qui entoure un objet perdu à chaque fois différent. Pour tout le monde, c'est l'oeuvre d'un uluberlu cultivé et original. Pour Adamsberg, cette manie est une marque de cruauté.