2012, film catastrophe par excellence, ne s’embarrasse de rien.
Au niveau des effets spéciaux, mieux vaut attacher sa ceinture : Roland Emmerich ne rigole pas avec le spectacle. Le premier quart du film notamment, avec les premières destructions, dont celle de Los Angeles, absolument impressionnante, donne la chair de poule. Les images sont réalistes, les plans dynamiques : le spectateur assiste à la disparition d’une ville en quelques minutes.
15
nov.
2012 : 2012 effets spéciaux, une histoire minimale
Chouchouté par Ariane le 15 novembre à 14:05
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