C’est officiel : le cinéma français prend un malin plaisir à adapter au cinéma des BD cultes et le résultat, deux fois sur trois est d’une rare médiocrité.
Après Astérix aux jeux Olympiques, Lucky Luke de James Huth concourt désormais dans le cercle très fermé des nanars français à gros budget qui s’attaquent à des personnages et des histoires cultes pour viser le plus grand public possible et amasser le plus d’argent.
25
oct.
Lucky Luke, sur les pas d'Astérix aux Jeux Olympiques
Chouchouté par Ariane le 25 octobre à 13:57
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