Cette nouvelle d’une centaine de pages raconte les derniers jours de la vie de Gustave Aschenbach, auteur célèbre (et personnage fictif) de son temps. Ecrite en 1911, la nouvelle fait état de la décadence prolongée qui règne en Europe : l’écrivain tombe amoureux d’un jeune garçon qu’il ne cesse d’idéaliser et auquel il ne cesse de penser, dans une Venise frappée par le choléra asiatique.