John le bienheureux, grisé par tant de chair, s’exclame, en articulant bien chacune des syllabes, sans respecter pourtant le rythme des alexandrins :

« Oh belle muse en ce lieu céleste assoupie,
Qu’il est bon pour mon cœur d’être enfin arrivé
Dans cette auguste salle où trône une mariée,
Non, ma mariée, loin de la pluie, loin des orties.