Venice-brouillard
J'ai toujours trouvé qu'on devrait rajouter un mot à cette expression, pour avoir : les voyages linguistiques forment la jeunesse.
Avec le retour de l'automne, la vie parisienne, le quotidien, il arrive des instants où on se souvient de ces séjours linguistiques où les parents, quand on avait treize ans, quinze ans, nous inscrivaient. Ils y voyaient les cours d'anglais et une amélioration de notre niveau. On y voyait de nouveaux copains, du sport.