John, donc, se hâte, de façon à rattraper ledit Ernest. Mais celui-ci, ou plutôt son cheval, semble voler, car John, cadençant pourtant Capsoul à perdre haleine est incapable de se rapprocher du concurrent récalcitrant.
Histoire, John Bonhomme contre Ernest Corqueweste, chapitre 6
Chouchouté par Ariane le 30 novembre à 10:28
Poésie : votre plus beau vers
La poésie, on la découvre petit à petit avec les fables de la Fontaine, Charles Péguy ou Victor Hugo. C’est comme une rivière, ou un fleuve : il y a un rythme, une fluidité, ou au contraire des passages heurtés, comme des barrages.
Chouchouté par Ariane le 17 novembre à 10:51
Citations et littérature dans les films d'horreur ou comment la multiplicité de supports et de références mène à la folie
Cette fois-ci, je pars d’un film de John Carpenter : L’antre de la folie, réalisé en 1995. John Trent, embauché pour retrouver un écrivain célèbre de livres d’épouvante est amené, dans sa recherche de l’écrivain, à confondre réalité et monde des livres. Et si l’inspiration horrifique de l’écrivain était bien réelle : si les monstres existaient? Ou pire encore, si John n’était finalement pas réel, s’il n’était qu’un personnage de livre ?
Chouchouté par Ariane le 11 novembre à 14:27
Harry Potter et les reliques de la mort : le tome 7 qui ne déçoit aucune attente
Les fans le savent (et presque toute la France d'ailleurs): le tome 7 sort en français demain : vendredi 26 octobre. L’attente doit devenir intolérable...
Chouchouté par Ariane le 25 octobre à 08:55
Sylvie Germain : LA romancière
Je pense pouvoir dire que peu de monde la connait. Peut-être un peu plus depuis son livre Magnus, prix Goncourt des lycéens en 2005.
Chouchouté par Ariane le 18 octobre à 11:02
Pourquoi j’aime Madame Emma Bovary et Monsieur Frédéric Moreau
J’ai découvert Flaubert à 18 ans avec L’Education sentimentale. A l’époque, je n’avais pas compris ce livre, et j’en ai vite eu la preuve : 3/20 pour ma première khôlle de lettres… J’avais décrit la magnificence de l’amour, un exotisme chatoyant et doux qui n’avait existé que pour moi, car Flaubert, dans son livre, avait semé de l’ironie, et, pour ma plus grande honte, le passage qu’on m’avait perversement donné à analyser en regorgeait.
Chouchouté par Ariane le 20 septembre à 16:39
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