Une bonne nouvelle en cette journée bien grise à Paris : une semaine un chapitre redémarre, et in extremis…
30 heures de voyage en avion (en comptant l’escale de 4 heures et demi à Hong Kong avec la découverte visuelle mais non gustative d’une soupe à l’hippocampe et d’une soupe au lait de coco et au gras de crapaud pour le dessert), c’était beaucoup trop d’heures en l’air, principalement quand dix minutes se passent dans un magistral orage. Des éclairs apocalyptiques, l’avion brinqueballé en haut, en bas, à gauche, à droite (il danse, au rythme des stroboscopes) et le commandant de bord qui le dit ; plus que deux minutes et enfin c’est fini… Et moi qui me dis : il reste encore 11 heures d’avion…