7 raisons véridiques.
1) Ils sont toujours à l’heure. C’est un pur bonheur. D’ailleurs, il suffit d’attendre à peine une ou deux minutes pour en voir un arriver. Avec ce type de transport, c’est sûr, on est toujours à l’heure.
2) Les lieux sont très propres, particulièrement les couloirs du métro et du rer. Plus encore, ces transports grouillent d’originalité et de couleurs : du rose, du bleu, du vert. Il n’y a jamais de gris.
Pourquoi j'aime le bus, le rer, le métro... et l'ironie...
Chouchouté par Ariane le 12 juin à 18:42
Le Procès de Franz Kafka : entre ironie magistrale et absurdité vénérable
Ce serait faire une grossière erreur que de dénigrer ce livre, avec pour seul argument son titre, qui m’a repoussée pendant des années… Il a fallu que je sois obligée de lire Le Procès (les études permettent de ces découvertes !) pour prendre conscience que j’étais devant un des meilleurs romans du monde…
Chouchouté par Ariane le 07 juin à 16:11
Adapter Flaubert au cinéma: Un coeur simple, de Marion Laine
Adapter Flaubert, réputé inadaptable.
Un défi, qui perd quelques plumes de couleurs en chemin mais reste convaincant.
Si l’atroce ironie du style disparaît à l’image, l’histoire reste frappante, terrible, et Madame Aubain est là pour rappeler, grâce à ses répliques, le style incisif de l’écrivain.
Chouchouté par Ariane le 15 avril à 10:32
Pourquoi j’aime Madame Emma Bovary et Monsieur Frédéric Moreau
J’ai découvert Flaubert à 18 ans avec L’Education sentimentale. A l’époque, je n’avais pas compris ce livre, et j’en ai vite eu la preuve : 3/20 pour ma première khôlle de lettres… J’avais décrit la magnificence de l’amour, un exotisme chatoyant et doux qui n’avait existé que pour moi, car Flaubert, dans son livre, avait semé de l’ironie, et, pour ma plus grande honte, le passage qu’on m’avait perversement donné à analyser en regorgeait.
Chouchouté par Ariane le 20 septembre à 16:39
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