Une Semaine, un Chapitre

(ou un peu plus...)

Pourquoi j'aime le bus, le rer, le métro... et l'ironie...

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7 raisons véridiques.

1) Ils sont toujours à l’heure. C’est un pur bonheur. D’ailleurs, il suffit d’attendre à peine une ou deux minutes pour en voir un arriver. Avec ce type de transport, c’est sûr, on est toujours à l’heure.

2) Les lieux sont très propres, particulièrement les couloirs du métro et du rer. Plus encore, ces transports grouillent d’originalité et de couleurs : du rose, du bleu, du vert. Il n’y a jamais de gris.

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Le Procès de Franz Kafka : entre ironie magistrale et absurdité vénérable

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Ce serait faire une grossière erreur que de dénigrer ce livre, avec pour seul argument son titre, qui m’a repoussée pendant des années… Il a fallu que je sois obligée de lire Le Procès (les études permettent de ces découvertes !) pour prendre conscience que j’étais devant un des meilleurs romans du monde…

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Adapter Flaubert au cinéma: Un coeur simple, de Marion Laine

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Un coeur simpleAdapter Flaubert, réputé inadaptable.

Un défi, qui perd quelques plumes de couleurs en chemin mais reste convaincant.
Si l’atroce ironie du style disparaît à l’image, l’histoire reste frappante, terrible, et Madame Aubain est là pour rappeler, grâce à ses répliques, le style incisif de l’écrivain.

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Histoire: JB et la larme maudite, chapitre 21

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Pourquoi j’aime Madame Emma Bovary et Monsieur Frédéric Moreau

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Madame Bovary et moi dinant à Venise

J’ai découvert Flaubert à 18 ans avec L’Education sentimentale. A l’époque, je n’avais pas compris ce livre, et j’en ai vite eu la preuve : 3/20 pour ma première khôlle de lettres… J’avais décrit la magnificence de l’amour, un exotisme chatoyant et doux qui n’avait existé que pour moi, car Flaubert, dans son livre, avait semé de l’ironie, et, pour ma plus grande honte, le passage qu’on m’avait perversement donné à analyser en regorgeait.

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