Une Semaine, un Chapitre

(ou un peu plus...)

Nouveauté dans les critiques de film : les notes

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Je propose désormais de terminer chaque critique de film par une note sur 10, qui sera une synthèse de ma pensée sur le film en termes plus « mathématiques » et concrets, après, bien sûr, avoir au préalable utilisé les mots, car un avis sur un film ne se résume pas à un chiffre.

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Mamma Mia de Phyllida Lloyd : un bonbon et une comédie musicale

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mamma mia
Mamma Mia ! Un petit bonbon sucré, aussi coloré qu’un arlequin, doux comme une fraise tagada, mais aussi acidulé par des copines hystériques et des déguisements disco tout en strass et paillettes.

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Mirrors de Alexandre Aja

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mirrors
Pauvre Ben Carson. Suspendu de la police pour avoir tué un homme, il essaie d’arrêter de boire à l’aide de cachets à risques hallucinogènes et prend un boulot de garde de nuit au Mayflower, un ancien centre commercial délabré après un incendie, qui était anciennement un hôpital où un certain Dr Kane traitait les troubles de la personnalité. Le gardien de nuit précédent a quant à lui rendu l’âme, tué par son reflet.

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Rabbit Proof Fence : la question aborigène dans le cinéma australien

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Rabbit Proof Fence
D'entrée, ce film australien propose au spectateur un parallèle frappant : si une barrière de la longueur du continent est construite pour éviter que les lapins ne se développent dans toute l'Australie, les enfants métisses (mères aborigènes, pères blancs), eux, sont déplacés loin de leur village avec un seul but en tête pour les gouvernants: au bout de trois générations, si ces enfants épousent des blancs, les descendants seront blancs, complètement, comme si rien ne s'était passé... Là-bas, on contrôle les enfants comme on contrôle les lapins, d’où l’ingéniosité du titre australien, hélas traduit pour sa sortie en France.

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Eldorado de Bouli Lanners: La Belgique comme vous ne l'avez jamais vue !

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EldoradoMercredi après midi, pendant que les gens soldaient avec une hargne bien connue, c’est au cinéma qu’il fallait aller pour profiter d’une aventure qui n’arrive pas souvent : se retrouver seul dans la salle à quelques secondes du début de la projection !
Le film en question, Eldorado, méritait pourtant que les êtres humains se pressent en foule dans ces fauteuils ma foi très confortables, au lieu de patienter une petite heure pour payer quelque chose à se mettre.

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Phénomènes, le nouveau film de Night Shyamalan

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Phénomènes
En allant voir Phénomènes, le spectateur s’attend à un nouveau film fantastique dans la lignée de Sixième sens, Le Village et La Jeune fille de l’eau. Mais c’est plutôt d’un film catastrophe, voire d’un mélodrame, qu’il s’agit.

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Que faire à Paris cet été? Première partie: le festival Paris Cinéma

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Paris cinéma


Ça y est, les vacances sont bientôt là : cours finis, examens terminés. Pourtant, les vraies vacances sont peut être encore loin : les vacances, très loin justement, loin de Paris, voire loin de France. Pour ceux qui patientent jusqu’en Août et ont la grande (l’immense, l’énorme) chance de pouvoir profiter de Paris encore un long mois, pas de panique, j’ai ce qu’il vous faut : le festival Paris Cinéma.

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Un film des frères Coen: Barton Fink

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Barton Fink



Barton Fink, jeune dramaturge timide, devient la coqueluche du théâtre new yorkais. Sa pièce et son style, consacrés au peuple, et rien qu’au peuple, ont tant enchanté les critiques que sans trop avoir choisi, Barton Fink se retrouve embauché par un studio hollywoodien. Direction Los Angeles, vers un avenir supposé brillant.

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Voir un film d'horreur à plusieurs: The Descent de Neil Marshall... Un bon choix.

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Beaucoup ont dû le remarquer, le film du moment n’est plus vraiment du moment depuis déjà une quinzaine de jours… Aucun film n’a détrôné Funny Games, parce que je n’ai pas eu l’occasion d’aller beaucoup au cinéma, et parce que les films que j’ai vus étaient soit déjà sortis depuis longtemps (Rec), soit impossibles à conseiller (Indiana Jones)…
Mais les critiques de film me manquent, et il n’y a pas que les salles de cinéma pour se mettre un film sous la dent. Un dvd et un ordinateur suffisent. Petit diner entre copains suivi d’un film d’horreur regardé à plusieurs : attention, soirée tendance !

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L'horreur espagnole : Rec, un film de Paco Plaza et Jaume Balaguero.

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rec
Le tournage caméra à l’épaule, dans le genre du film d’horreur, a déjà montré toute son efficacité dans le Projet Blair Witch, ou encore dans Cloverfield. Rec innove pourtant, en choisissant d’associer à cette caméra mouvante et au plus proche des événements, une esthétique gore que les deux précédents avaient préféré occulter.

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