Le meilleur moment reste à mon avis le coucher du soleil, avec la possibilité de voir les multiples transformations d’une ville qui passe du jour à la nuit.

Vous arrivez trop tôt ? Pas de problème. Très facile de s’occuper.
Le Griffith Observatory est aussi un musée (gratuit) sur l’espace et les étoiles. Un immense pendule à l’entrée montre le lent mouvement de la terre qui tourne autour du soleil, et le sous-sol développe entre autres les thèmes de la météorite et du changement de poids sur les différentes planètes.

Vous rêvez de vous peser sur Pluton ? Mars ? Jupiter ? Vous savez maintenant où aller. Malheureusement j’ai perdu le papier où j’avais noté quelques un de mes poids en pounds, et cela atteignait bien 250 sur l’une des planètes, et 20 sur une autre.
Tous les lecteurs peuvent ici remarquer que je me dévoile sur ce blog de plus en plus, car je viens quand même de donner mon poids en pounds sur certaines planètes du système solaire... Une information de premier ordre.

Griffith Observatory
Einstein est dans la salle, assis sur un banc. Si quelqu’un ici rêve de se faire photographier sur les genoux d’Einstein, c’est par là.

En un mot, le musée du Griffith Observatory est absolument superbe, interactif et à portée de tous. Les explications sont simples, des guides proposent des expériences.

Dernier atout : le dôme de l’observatoire, qui projette le film Centered in the universe sur la découverte, siècle par siècle, de l’univers par l’homme. La technologie est irréprochable, les images à couper le souffle, et… Ce spectacle coûte… 5 dollars.